La droite n'aime pas la drogue parce qu'elle n'en connaît pas les vertus ou tout au contraire, parce qu'elle en jouit pleinement en secret, sans recul aucun. Effectivement quel chef d'état ne connaît pas aujourd'hui le petit suplément d'assurance que pourrait lui apporter des amphétamines, de la cocaïne ou de l'héroïne. Alors oui, de nouveau la plupart de ces pouvoirs en place, et notamment cette Europe de droite principalement fondée, se fait valoir par sa plus mauvaise foi. Le terme convient... N'y a-t-il pas derrière ces législations et ces punitions une forme toute choisie de moralité aveugle, préconisant le bien de tous afin de mieux s'attirer les faveurs de ses croyants et d'en manipuler le plus grand nombre ?
Mais la droite ne bénéficie pas qu'en catimini des bienfaits de ces médecines. Son apparente scandalisation quant à ses effets ravageurs sur "notre jeunesse" n'est qu'une façon de plus pour masquer le gigantesque cambriolage des peuples dans laquelle elle s'est spécialisée depuis soixante ans. En plus des excès de vitesse, des sanctions sur internet, de la création d'une police de propreté, la droite, étalant son hypocrisie aux yeux de tout un chacun, renforce son combat contre la drogue et renfloue ses caisses grâce à de nouvelles dîmes.
La main droite, celle qui dirige le plus souvent, détient fermement les clés de l'Europe en ce début de siècle. Elle n'est pas prête à les relâcher de sitôt, quoiqu'en disent des socialistes rassérénés d'idéaux. Elle l'a remportée au prix d'un désastre humain dans lequel s'illustrent les périodes parmi les plus accablantes de notre histoire : les guerres mondiales, la guerre froide ou l'instauration d'un Tiers-Monde. Berlusconi, Sarkozy, pour prendre les présidents européens les plus tape-à-l'oeil, ne sont pas des êtres égoïstes et névrosés pour rien, ils ne vouent pas un culte à la réussite sans raison. Je veux dire par là que le terrain est préparé à leur arrivée. Anciens mussoliniens et autres figures fascisantes avec qui il faut obligatoirement traiter pour monter les marches... Je ne parle pas de marionnettes mais pense plutôt à des familles, à des entreprises et enfin bien sûr aux banques historiques qui ont orienté et orientent toutes les grandes manoeuvres politiques par le poids de leurs finances. Le sujet devrait ici se corser et je ne pense pas avoir besoin d'être dans les secrets d'état ou de paradis fiscaux pour couronner mon résultat, je me contenterais de m'appuyer sur l'histoire récurrente et machiavelique de la manipulation des plus forts sur les plus faibles. Avancer une telle relation pourrait-on me dire relève de la diffamation et de l'ignorance. J'insiste alors en vous proposant un temps pendant lequel la main d'un droitier n'est qu'un outil de vengeance déguisé sous un gant à facettes, ondoyant et renvoyant mille réalités autrement plus malheureuses, telle par exemple le visage de son porteur fatigué et distrait par des hallucinations avec lesquelles il s'entretient. Tantôt Dieu le rassure et le pardonne, tantôt le diable lui soumet de nouveaux projets. Prisonnier alors de visions éculées, il s'en retourne hagard et livide, la main gauche amputée, sans passeur, sans chamane pour lui expliquer le délire haineux dont il a été responsable.
Les drogues sont des aliments, des boissons, issus de végétaux intelligents. Elles provoquent des effets, elles nécessitent équilibre et excès, connaissance des saveurs et des mélanges. L'ivresse du vin est éminément liée à la qualité de son crû et de sa fermentation. La vibration mondaine et chaude du vin emporte les gens dans un dialogue festif et fraternel. Le haschich sensibilise à la connaissance et fait danser la psyché. Les psychotropes approfondissent la vue...
Je ne vois finalement qu'une raison qui empêche l'éducation, l'histoire, la légalisation de plantes sacrées en Europe mais qui favorise son exploitation pharmaceutique, les cartels et sa criminologie : la concurrence. La concurrence trop puissante sur ce marché et le retard économique considérable de notre vieux continent, qui a mis des années à combattre et à rationaliser des pensées par trop "sauvages".
La main droite, celle qui dirige le plus souvent, détient fermement les clés de l'Europe en ce début de siècle. Elle n'est pas prête à les relâcher de sitôt, quoiqu'en disent des socialistes rassérénés d'idéaux. Elle l'a remportée au prix d'un désastre humain dans lequel s'illustrent les périodes parmi les plus accablantes de notre histoire : les guerres mondiales, la guerre froide ou l'instauration d'un Tiers-Monde. Berlusconi, Sarkozy, pour prendre les présidents européens les plus tape-à-l'oeil, ne sont pas des êtres égoïstes et névrosés pour rien, ils ne vouent pas un culte à la réussite sans raison. Je veux dire par là que le terrain est préparé à leur arrivée. Anciens mussoliniens et autres figures fascisantes avec qui il faut obligatoirement traiter pour monter les marches... Je ne parle pas de marionnettes mais pense plutôt à des familles, à des entreprises et enfin bien sûr aux banques historiques qui ont orienté et orientent toutes les grandes manoeuvres politiques par le poids de leurs finances. Le sujet devrait ici se corser et je ne pense pas avoir besoin d'être dans les secrets d'état ou de paradis fiscaux pour couronner mon résultat, je me contenterais de m'appuyer sur l'histoire récurrente et machiavelique de la manipulation des plus forts sur les plus faibles. Avancer une telle relation pourrait-on me dire relève de la diffamation et de l'ignorance. J'insiste alors en vous proposant un temps pendant lequel la main d'un droitier n'est qu'un outil de vengeance déguisé sous un gant à facettes, ondoyant et renvoyant mille réalités autrement plus malheureuses, telle par exemple le visage de son porteur fatigué et distrait par des hallucinations avec lesquelles il s'entretient. Tantôt Dieu le rassure et le pardonne, tantôt le diable lui soumet de nouveaux projets. Prisonnier alors de visions éculées, il s'en retourne hagard et livide, la main gauche amputée, sans passeur, sans chamane pour lui expliquer le délire haineux dont il a été responsable.
Les drogues sont des aliments, des boissons, issus de végétaux intelligents. Elles provoquent des effets, elles nécessitent équilibre et excès, connaissance des saveurs et des mélanges. L'ivresse du vin est éminément liée à la qualité de son crû et de sa fermentation. La vibration mondaine et chaude du vin emporte les gens dans un dialogue festif et fraternel. Le haschich sensibilise à la connaissance et fait danser la psyché. Les psychotropes approfondissent la vue...
Je ne vois finalement qu'une raison qui empêche l'éducation, l'histoire, la légalisation de plantes sacrées en Europe mais qui favorise son exploitation pharmaceutique, les cartels et sa criminologie : la concurrence. La concurrence trop puissante sur ce marché et le retard économique considérable de notre vieux continent, qui a mis des années à combattre et à rationaliser des pensées par trop "sauvages".
Sylvain Pack.
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RépondreSupprimerThanks!
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Oui,je suis entièrement de votre avis.Les Soirées coke et champagne ont eu en leur temps,quelques scandales(+ pédophilie...)ceci dit;A gauche,ils font la même chose.
RépondreSupprimerG Z